Les émotions et les sensations au cœur du sport

Actualité

N° 406 - Publié le 31 janvier 2023
BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE
Aux Jeux olympiques de 1912, Jean Bouin est devancé par le Finlandais Hannes Kolehmainen lors de la finale du 5 000 m.

Les sensibilités peuvent paraître éloignées du monde du sport. Pourtant, elles sont au centre du spectacle dans les compétitions et ont longtemps servi dans les entraînements.

Qui peut comprendre le plaisir qu’éprouve un joggeur à se lever un dimanche matin pour aller courir dans un bois boueux, si ce n’est un autre adepte de la course ? Car finalement, courir n’est rien d’autre qu’éprouver une suite de sensations, comme l’essoufflement ou les crampes, et d’émotions, que l’on ne peut saisir qu’en en faisant soi-même l’expérience. Étudier comment les athlètes s’approprient ces sensibilités, « c’est aller au cœur de ce qui définit le sport », résume Aurélien Chèbre,...
Cet article est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Connectez-vous

TOUTES LES ACTUALITÉS

Abonnez-vous à la newsletter
du magazine Sciences Ouest

Suivez Sciences Ouest